Nous n'avions pas fini
- lilychkaya
- 10 févr. 2024
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 8 janv.
Nous n’avions pas fini de nous parler d’amour,
De fumer nos gitanes,
Au soir pâle qui vient.
Les matins fous, les nuits calmes, et ton cœur.
Transparent
Ne l’ai-je compris, trop tard, qu’en chantant
C’est un beau jour pour survive, après tout,
C’est un beau jour pour survivre, mon a....
If I was a bird i would sing without caughing like a pigeon,
Feathers stuck in my mouth,
Et j’ai cherché, en vain, tout ce qui brûle
Ce qui peint, dépeint, ô toi ma plume
Et j’ai trouvé, serrés dans mes poings, tes yeux de lunes,
Dis moi, et toi, est ce que tu chantes parfois ?
C’est un beau jour pour survivre, après tout,
C’est un beau pour survivre, mon amour,
If I was a bird I would sing without caughing like a pigeon,
Feathers, stuck in my mouth
« Nous n’avions pas fini de nous parler d ‘amour,
Nous n’avions pas fini de fumer nos gitanes,
On peut se demander pourquoi les cours condamnent, un être si beau, qu’il fait pâlir le jour. »
Et je me demande pourquoi tout ce qui brûle, brûle
Et je te demande : Pourquoi tout ce qui brûle, brûle ?
Dis-moi, toi, l'oiseau et dis-moi toi la plume
Dis-moi toi le pistil, dis-moi toi le pétale
Dis-moi toi l'épine ô dis-moi toi l'écaille,
Pourquoi, à la fin, il ne reste que ça ?
Nous n'avions pas fini de nous parler d'amour
Nous n'aurons jamais fini de nous parer d'amour
Et qu'importe, si à la fin, tout brûle
Qu'importe que tout brûle puisque moi j'aime,
Qu'importe que tout brûle puisque toi, toi, tu sèmes
Qu'importe, que je brûle, que je brûle
Puisque je t'aime.
A.L Le Pellec
La entre «» strophe est issue du "Condamné à mort" de Jean Genet























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